De la production des esclaves au 21e siècle

Qu’aujourd’hui, à l’aube de la théorie monétaire moderne, tous les piliers de l’économie orthodoxe se soient effondrés ne semble choquer personne !!

Du moins, pas ceux qui vont en bénéficier.

Pourtant, la doxa économique s’apprête à quitter le champs lexical de la croissance, c’est à dire d’une relation monnaie /inflation basée sur la valeur des marchandises et du temps humain.

Nous entrons dans un nouveau cycle de croissance, découplée. Une croissance restreinte, majoritairement virtualisée, avec peu de libertés individuelles pour la masse.

Suivi d’un nouveau cycle de croissance physique, mais au profit d’un nombre restreint de multinationales et de groupes informels, qui aurons pris contrôle du monde, et du système de gestion du troupeau : les gouvernements mettant en oeuvre l’agenda 21.

L’attirance semble suffisamment forte pour faire perdre à tous le sens de la moindre valeur humaine. Ceux qui ferons ce choix deviendrons l’incarnation de l’humanité dévoyée qui finit par consommer ses propres membres pour continuer d’en élever un petit nombre.

Notre société devient, littéralement, autophage. Nous avons passé le pic pétrolier, dixit BP.

 

 

 

Nous avons passé le maximum solaire, dixit la nasa.

Nous avons passé le pic de la biosphère, dixit les

 espèces absentes.Fin du cycle croissant. 3 x 13 années de plateau. Dit comme ça, ça semble cohérent. 

 Mais quand tout se restreindra ?

Quand la cohésion sociale ne tiendra que par la décohésion psychologique des gens ?

Quand la marchandisation du corps prendra son ampleur la plus sordide ?

Quand tout aura été pillé ? Que les esclaves n’auront plus rien à produire et transformer ?

Ce sont les esclaves, que l’on pillera, que l’on produira, et que l’on transformera.


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